| | | | 😍 Antoine et Loreena deviennent officiellement associé·es de La COOP Villaroise, aux côtés de Caroline, Noémie, Mathieu et de notre collectif de soutien Les Symbiotes. 📍 Le jeudi 25 Mai s’est tenu une AG extraordinaire de La COOP Villaroise.
Deux principaux points étaient à l’ordre du jour : statuer sur les
candidatures au sociétariat de Loreena et Antoine (votées à l’unanimité
!) et sur le démarrage des contrats de travail et de la rémunération de
Caroline et Mathieu (également votés à l’unanimité !). Grâce à vous
toutes et tous, nos client·es, nous pouvons nous permettre de commencer à
nous rémunérer… Prochaine étape : le contrat de travail et le
démarrage de la rémunération de Noémie, dans quelques mois si tout va
bien !
À
cette occasion, c’est Catherine – à droite sur la photo, entre Antoine
et Noémie – qui a représenté Les Symbiotes, en sa qualité de membre du
collège solidaire de l’association. |
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| | Les nouveautés vrac & locales |
| | Deux nouveautés vrac s’ajoutent ce mois-ci à notre offre : 🔸 Des blocs de véritables savons d’Alep, vendus au poids (210g environ le bloc) 🔸 Du liquide de rinçage pour lave-vaisselle, suite aux demandes de plusieurs d’entre vous. Comme toujours à La COOP, ces produits sont 15 à 25% moins chers que leurs équivalents emballés. Côté produits locaux, pas de nouveaux fournisseurs ce mois-ci, mais des extensions de gammes existantes avec notamment les premiers flacons d’eaux florales
de l’Herbier d’Elsa, dont les matières premières ont été cultivées et
transformées par Elsa, paysanne herboriste, à Feucherolles, à 15 km du
magasin. Quelques nouvelles tisanes et un nouveau miel de fleurs local ont également fait leur apparition ce mois-ci à La COOP. Et on vous réserve une petite surprise pour le mois de Juin ! Indice : il s’agit de produits très appréciés durant l’été !… Comme toujours, n’hésitez pas à nous remonter vos envies et vos idées pour enrichir nos offres de produits locaux et/ou vrac ! On trouvera toujours de la place pour ça 😃 ! |
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| | | Réservez votre pain sans gluten |
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| Comment réserver vos pains sans gluten du Petit Minotier ? Nous recevons ces pains frais et artisanaux un mercredi sur deux, à partir de vos commandes. Lorsqu’une commande est ouverte, nous avertissons par courriel (et non plus par SMS) les personnes intéressées. Faites-nous savoir si vous souhaitez recevoir l’information ! Vous
pourrez ensuite nous adresser votre commande en magasin (au rayon
boulangerie) ou par retour de courriel. Si vous ne connaissez pas encore
les produits du Petit Minotier, vous pouvez découvrir tous ses pains et
viennoiseries, et leur composition en toute transparence sur son site
internet : https://www.le-petit-minotier.fr/categories
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| | … avec nos fruits rouges de saison ! |
| Saviez-vous que la chantilly prête à l’emploi n’existe pas en bio ? La raison est simple : ces produits utilisent un gaz toxique, le protoxyde d’azote, comme propulseur. Il est interdit en bio. Alors on ne mange pas de chantilly avec nos délicieuses fraises bio dont la saison démarre tout juste ? Tatata !! À La COOP, on vous propose les ingrédients dont vous avez besoin pour faire la vôtre : crème fraiche liquide, préparation Fix’Bio, sucre vanillé. Et le tour est joué ! La recette
: fouettez 250ml de crème fraîche liquide bien froide pendant deux
minutes. Ajoutez 1/2 sachet de Fix’Bio, 20g de sucre en poudre et 1/2
sachet de sucre vanillé (en option). Continuez
de fouetter jusqu’à obtenir une consistance ferme et onctueuse.
Conserver au réfrigérateur… ou déguster immédiatement ! 😉 |
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| | Guide 2023 Manger local à SQY |
| | Le guide 2023 Manger Local à SQY a été actualisé. La COOP Villaroise y figure désormais ! Pour
tout savoir sur notre offre locale, découvrez la carte sur notre site
web (et ci-dessous). Elle sera également affichée très bientôt en
magasin. Télécharger le guide « Manger Local à SQY », en cliquant ici. |
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| | | Les poireaux ont bon dos… |
| En
avril, nous vous indiquions que nos fruits et légumes, à 30% issus de
fermes locales, étaient en moyenne 23% moins chers qu’en grande surface (voir ici notre relevé de prix comparatif). Pourquoi un tel écart ? |
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| | La grande distribution fait 70% de marge quand on en fait 30% |
| | Food Story a réalisé une enquête pour comprendre de quoi est composé le prix d’un poireau bio en grande surface (voir la vidéo ici). Julien est un producteur de poireaux bio. Ses
poireaux bio lui coûtent en moyenne 30% de plus à produire que des
poireaux conventionnels. Plus de main d’œuvre est requise et la densité
de poireaux doit être réduite à l’hectare pour éviter les maladies. En
bio, les poireaux ne sont pas protégés par les pesticides de synthèse
qu’on retrouve en agriculture dite « conventionnelle ». |
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| Julien
vend ensuite sa production à un grossiste local, intermédiaire entre
lui et les magasins. Le grossiste réalise les contrôles qualité, le
nettoyage des produits et organise les livraisons, en l’occurrence vers
des magasins Carrefour de la région d’Évreux dans ce reportage. Julien vend 1,80 € le kg de poireaux à son grossiste. Le grossiste vend 2,60 € le kg de poireaux aux magasins Carrefour. Et enfin, Carrefour vend… 4,50 € le kg de poireaux à ses client·es. Carrefour réalise donc une marge de plus de 70% dans cet exemple. En mars (pleine saison), nos poireaux locaux étaient vendus à La COOP 3,23€ le kg,
soit 28% de moins que ceux de Carrefour (ce qui a été confirmé par les
relevés que nous avions réalisés en grande surface à ce moment-là,
retranscrits dans notre étude comparative). À La COOP, nous faisons en moyenne 30% de marges sur nos fruits & légumes. La bio chère n’est pas une fatalité, au moins en ce qui concerne les fruits & légumes. Les grandes surfaces semblent entretenir l’image d’une bio chère en bonne partie du fait des marges qu’elles pratiquent. |
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| | L’État à la rescousse des pesticides |
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| À
La COOP, nombre de décisions publiques nous étonnent, parfois nous
irritent. Celle-ci, prise par Le Ministère de l’Agriculture, nous
révolte. Début Mai, le Ministère de l’Agriculture ordonne aux agents de l’Office Français de la Biodiversité (OFB, le gendarme de l’environnement) de ne plus contrôler les arboriculteurs sur leurs usages de pesticides
qui, en théorie, sont soumis à des limites quantitatives et des
horaires et conditions d’épandage bien précis. En résumé : l’État,
« conseillé » par la FNSEA, le syndicat agricole productiviste
majoritaire, autorise certains à désobéir impunément aux lois qu’il a
lui-même établies (en savoir plus). Faut-il rappeler que les pommes, en agriculture conventionnelle, sont déjà parmi les fruits les plus aspergés de pesticides ? Une pomme non bio reçoit plus de… 35 traitements chimiques (35, vous avez bien lu !) au cours de sa vie. Source : Greenpeace France – en savoir plus.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est nécessaire de peler les
pommes non bio avant de les manger, pour limiter l’ingestion de résidus
de pesticides en tout genre. |
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| | Que va-t-il se passer lorsque ces produits arriveront sur le marché ? On aura de nouveau des campagnes nationales de rappel de produits pour
présence de résidus de pesticides au-delà des seuils réglementaires, à
l’instar de celle organisée en février 2023 chez Grand Frais concernant
des oranges (voir ici la campagne officielle de rappel). À moins que l’État ne passe là aussi outre les seuils sanitaires définis… Entre temps, la biodiversité se sera effondrée encore un peu plus (abeilles, insectes, vers de terre…). Comme
à son habitude, l’État fait passer en premier les intérêts économiques
d’une minorité puissante, accentuant toujours plus la vitesse à laquelle
ils emmènent une grande partie du vivant vers son extinction. « Quand
le dernier arbre aura été abattu – Quand la dernière rivière aura été
empoisonnée – Quand le dernier poisson aura été péché – Alors on saura
que l’argent ne se mange pas. » Geronimo |
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